Ligue 1

1er resultat de la soirée : LYON bat LILLE 4 buts a 1 (malouda 5' ,juninho 52' ,fred 64' 70' pour lyon ,cris csc 23' pour lille )

jéromus a écrit:

1er resultat de la soirée : LYON bat LILLE 4 buts a 1 (malouda 5' ,juninho 52' ,fred 64' 70' pour lyon ,cris csc 23' pour lille )

Lyon étrille Lille

L’Olympique Lyonnais n’a fait qu’une bouchée de Lille à domicile (4-1) à l’occasion de la 7e journée de Ligue 1.

Battu l’an dernier par les Dogues à Gerland (1-3), Lyon a pris sa revanche cette saison en championnat en surclassant les Lillois en ouverture de la 7e journée de Ligue 1. Malouda avait ouvert la marque en début de rencontre avant que Cris n’égalise contre son camp. Bloqué à 1-1 à la mi-temps, le score évoluait en faveur des Gones au retour des vestiaires. Juninho, puis Fred par deux fois permettaient à Lyon de s’offrir la large victoire et conforter sa première place au classement de la Ligue 1 avec 19 points. Marseille suit derrière à trois longueurs alors que Lille est pointé à 9 unités en 6e position.

merci pour le cr steph

jéromus a écrit:

merci pour le cr steph

Google est mon ami !

Résultats
Lyon 4-1 Lille
Paris-SG 0-0 Nancy
Toulouse 0-0 Lorient
Le Mans 2-2 Sochaux
Rennes 0-0 Saint-Etienne
Bordeaux 2-1 Troyes
Nice 2-0 Valenciennes
Auxerre 2-2 Sedan (

dimanche 24 septembre 2006
18h30 Lens - Monaco
21h Nantes - Marseille

Classement

1 Lyon 19 7 6 1 0 19 6 13
2 Marseille 16 6 5 1 0 12 2 10
3 Nancy 12 7 3 3 1 7 4 3
4 Toulouse 12 7 3 3 1 9 7 2
5 Le Mans 12 7 3 3 1 11 10 1
6 Bordeaux 12 7 4 0 3 10 10 0
7 Saint-Etienne 11 7 3 2 2 11 10 1
8 Lille 10 7 3 1 3 12 10 2
9 Lens 10 6 3 1 2 10 8 2
10 Lorient 9 7 2 3 2 9 9 0
11 Sochaux 9 7 2 3 2 10 12 -2
12 Auxerre 9 7 2 3 2 9 11 -2
13 Paris-SG 8 7 2 2 3 8 10 -2
14 Valenciennes 8 7 2 2 3 7 10 -3
15 Rennes 6 7 1 3 3 5 9 -4
16 Troyes 5 7 1 2 4 7 10 -3
17 Monaco 4 6 1 1 4 6 9 -3
18 Sedan 4 7 0 4 3 8 12 -4
19 Nice 4 7 1 1 5 6 12 -6
20 Nantes 3 6 0 3 3 5 10 -5

Monaco / Lens Des destins opposés

Sur une pente ascendante, Lens tentera, lors de la 7e journée, de poursuivre son spectaculaire redressement en enfonçant un peu plus la tête sous l’eau à des Monégasques tout juste au-dessus de la ligne de flottaison.

Les échos de la rencontre
En sport, comme dans la vie, tout peut changer très vite. Lens et Monaco en sont deux bons exemples. Au soir de la 4e journée, les deux équipes étaient en effet au coude à coude au classement, aux… 12 et 13es places, symboles frappants de leur début de saison raté malgré de belles ambitions initiales. Deux journées plus tard, six points séparent les deux formations. Autant dire un véritable fossé entre des Lensois qui ont redressé spectaculairement la tête avec deux succès d’affilée sur le score de 3-0 (contre Valenciennes et à Sochaux) et des Monégasques qui ont cédé face à Auxerre (2-1), avant de tendre l’autre joue face à Paris (1-2). Une dynamique opposée que les Nordistes espèrent bien poursuivre chez eux en enchaînant un 3e succès de suite en championnat. Pour cela, Francis Gillot devra néanmoins composer avec un groupe sur lequel pèse plusieurs incertitudes. Ainsi, Hilton et Kovacevic sont revenus de Créteil, en Coupe de la Ligue, avec des douleurs à la cuisse, tandis que Vignal et Thomert sont loin d’être assurés de pouvoir effectuer leur retour dans le groupe sang et or.

A Monaco, plus que les blessures de Kallon (genou), Gakpé (pied), Grax (genou) ou Meriem (en phase de reprise) qui rendent leurs présences respectives incertaines, c’est surtout le mental qui pose problème. Dans ce domaine, beaucoup stigmatisent, dans les couloirs princiers, le manque de stabilité d’un effectif sans cesse remanié avec un discernement pour le moins discutable. Pour l’instant, Laszlo Bölöni ne semble néanmoins pas (encore) promis au même sort que son collègue Serge Le Dizet à Nantes, Michel Pastor, son président, n’ayant pas encore déclaré dans la presse qu’il lui accordait «toute sa confiance». Mais avec 4 malheureux points et une 17e place au classement, même les travées désertes de Louis II pourraient commencer à gronder. D’où la nécessité quasi absolue de ramener au moins un point de Lens, chez le voisin de Valenciennes où l’ASM vient de s’offrir un bon bol d’air en Coupe de la Ligue (0-0, 4 tab à 5). Des Monégasques en quête d’un petit rayon de soleil dans le Nord, si ce n’est pas la Terre qui tourne à l’envers…

La composition probable des groupes
Lens
Chabbert, Itandje - Barul, Coulibaly, Demont, Gillet, Hilton, Vignal - Boukari, Carrière, Se.Keita, Si.Keita ou Kovacevic, Lacourt – Cousin, Dindane, Jussiê, Thomert ou Jemaa

Monaco
Roma, Quesnel - Monsoreau, Modesto, Bolivar, Givet, Sambou, Cufré - Plasil, Bernardi, Touré, Perez, Leko - Koller, Menez, Di Vaio, Grax, Kallon, Gakpe

Ils ont dit…
Après la victoire à Créteil (1-4) en Coupe de la Ligue, Francis Gillot exprimait sa satisfaction sur le site du Racing Club, tout en stigmatisant une première période ratée : «A la mi-temps, je leur ai simplement demandé de mieux jouer car nous étions mal entrés dans le match (…) J’ai fait deux changements pour être plus offensifs. A partir de là, on a pressé beaucoup plus haut et on a eu la chance de marquer vite. Certes, il reste des choses à rectifier, à l’image de cette première période dont il faudra se souvenir, mais globalement je suis satisfait.» Seul regret pour l’entraîneur nordiste, «ne pas avoir pu faire souffler certains joueurs comme je le souhaitais avant Monaco.»

A Monaco, la soupe est plutôt à la grimace chez François Modesto : «La situation n’est évidemment pas facile pour nous. On savait très tôt que ce serait une saison particulière avec beaucoup de changements. Il faut laisser le temps aux nouveaux joueurs de s’acclimater. A nous également, les plus anciens, de nous adapter au nouvel entraîneur. Il est logique que tout ça prenne du temps. Le football, ce n’est pas de la magie et il faut beaucoup travailler pour réussir à construire quelque chose. On a tourné une page l’année dernière pour rentrer dans une nouvelle phase. On sait aussi qu’en étant patient et qu’en travaillant à l’entraînement, on va s’en sortir tous ensemble (…) Il faut apprendre à rester serein même dans les moments difficiles.»

Historique de leurs confrontations en Ligue 1
En 44 déplacements au stade Félix-Bollaert, Monaco a toujours bien réussi, ramenant en effet 10 succès et 16 résultats nuls. D’ailleurs, lors de leurs trois dernières venues, les Monégasques sont toujours repartis avec un point du Nord. Seul souci pour eux, ils ne se sont plus imposés sur le terrain lensois depuis… 10 ans tout juste, avec une victoire 3-1.

2005-2006 : Lens-Monaco 1-1
2004-2005 : Lens-Monaco 1-1
2003-2004 : Lens-Monaco 0-0
2002-2003 : Lens-Monaco 1-0
2001-2002 : Lens-Monaco 1-0

Leurs cinq derniers matches
Sedan - Lens 1-1 (Match amical)
Lens - Valenciennes 3-0 (Ligue 1, 5e j)
Ethnicos Achnas (Chy) - Lens 0-0 (Coupe UEFA)
Sochaux - Lens 0-3 (Ligue 1, 6e j)
Créteil - Lens 1-4 (Coupe de la Ligue, 16es de finale)

Rennes - Monaco 1-1 (Ligue 1, 3e j)
Monaco - Sedan 2-1 (Ligue 1, 4e j)
Auxerre - Monaco 2-1 (Ligue 1, 5e j)
Monaco - Paris SG 1-2 (Ligue 1, 6e j)
Valenciennes - Monaco 0-0, 4 tab à 5 (Coupe de la Ligue, 16es de finale)

Lens enfonce Monaco

En match décalé de la 7e journée, Monaco a subi une nouvelle désillusion en s’inclinant à Lens (1-0).

Décidément, rien ne va plus à Monaco qui a enregistré à Lens sa 5e défaite de la saison. Les Monégasques peuvent toutefois s’estimer assez malheureux puisque Jussiê a ouvert la marque à la 5e minute sur un penalty très généreux (1-0). Puis en deuxième période, Jan Koller aurait pu égaliser sur une action où l’on ne saura jamais si la balle avait franchi la ligne ou non (67e). Au classement, les Nordistes en profitent néanmoins pour grimper sur la 3e place du podium alors que l’ASM entre dans la zone rouge (18e).

J'aime pas Monaco mais la, c'est l'arbitre qui fait le résultat.
Comme dans un match sur deux.

Ca devient insupportable.

C'est vrai que l'arbitrage en France ça devient n'importe quoi... Tout ça pour ne pas en arriver à la vidéo...

Nantes a l'air bien dans le match.

Ils se sont créés les meilleurs occasions pour l'instant. Ils ont frappé le poteau...

je ne sais pas pour qui être.
Je deteste l'OM mais vu notre classement...

but nantais.

pistol a écrit:

but nantais.

Mérité...

Gros nénés!

pistol a écrit:

Gros nénés!

Nantes 2 / Marseille 0

Carton rouge pour Nantes...

Nantes 2 Marseille 1

Le réveil de Nantes

En clôture de la 7e journée de Ligue 1, Nantes a décroché sa première victoire de la saison en dominant Marseille à la Beaujoire (2-1).

Est-ce le fameux choc psychologique ? Toujours est-il que Nantes a livré sa meilleure partie de la saison lors de la réception de Marseille dimanche soir pour décrocher sa première victoire de la saison. Multipliant les belles actions collectives, les Canaris ont rapidement mené grâce à Payet (38e) et Norbert (2-0, 49e) avant que Mauro Cetto n’écope d’un carton rouge à la 65e minute. A dix, les Nantais subissaient les assauts de Marseille qui réduisait l’écart par Niang (78e) mais le FCNA tenait bon, non sans avoir souffert, et infligeait du même coup la première défaite de la saison à l’OM. Au classement, Nantes sort de la zone rouge (15e) alors que les Olympiens restent deuxièmes.

Résultats
Lyon - Lille 4-1
Auxerre - Sedan 2-2
Bordeaux - Troyes 2-1
Le Mans – Sochaux 2-2
Nice - Valenciennes 2-0
PSG - Nancy 0-0
Rennes - Saint-Etienne 0-0
Toulouse - Lorient 0-0
Lens - Monaco 1-0
Nantes – Marseille 2-1

Classement

1 Lyon 19 7 6 1 0 19 6 +13
2 Marseille 16 7 5 1 1 13 4 +9
3 Lens 13 7 4 1 2 11 8 +3
4 Nancy 12 7 3 3 1 7 4 +3
5 Toulouse 12 7 3 3 1 9 7 +2
6 Le Mans 12 7 3 3 1 11 10 +1
7 Bordeaux 12 7 4 0 3 10 10 0
8 Saint-Etienne 11 7 3 2 2 11 10 +1
9 Lille 10 7 3 1 3 12 10 +2
10 Lorient 9 7 2 3 2 9 9 0
11 Sochaux 9 7 2 3 2 10 12 -2
12 Auxerre 9 7 2 3 2 9 11 -2
13 Paris SG 8 7 2 2 3 8 10 -2
14 Valenciennes 8 7 2 2 3 7 10 -3
15 Nantes 6 7 1 3 3 7 11 -4
16 Rennes 6 7 1 3 3 5 9 -4
17 Troyes 5 7 1 2 4 7 10 -3
18 Sedan 4 7 0 4 3 8 12 -4
19 Monaco 4 7 1 1 5 6 10 -4
20 Nice 4 7 1 1 5 6 12 -6

Bordeaux : Ricardo devrait prolonger

Alors que son contrat de deux ans arrive à échéance en fin de saison, le technicien girondin Ricardo devrait signer un nouveau bail de deux ans selon L'Equipe de lundi.

Arrivé en 2005 avec pour ambition de construire un projet sur le moyen terme, le Brésilien est parvenu à hisser Bordeaux à la deuxième place du Championnat l'an passé, le club retrouvant la Ligue des champions.

Lens nous a piqué la 3ème place.

Nantes nous a piqué la 19ème place

Aulas : «Encore plus forte»

Le président lyonnais a des projets.

En seconde période contre Lille samedi (4-1), il avoue «avoir jubilé». Jean-Michel Aulas constate avec fierté la marque de son club et de son équipe à deux jours d'exporter son savoir faire à Bucarest, en Ligue des champions. S'il insiste sur la nécessaire remise en cause permanente de ses troupes, c'est parce qu'il sent l'équipe lyonnaise meilleure qu'elle n'a jamais été. Il a encore de grands projets pour elle avec, bientôt, la possibilité d'entrer en bourse. L'objectif : devenir aussi puissant que Chelsea, avec des comptes clairs.

«Jean-Michel Aulas, Lyon a-t-il envoyé un message à tous ses concurrents contre Lille (4-1) ?
Le contexte était hautement dangereux. L'OL avait tout à perdre. On s'en est sorti magnifiquement, notamment sur le plan tactique. J'avais assisté à la causerie. Le déroulement du match a donné raison 100% à Gérard (Houllier). J'ai vu le scénario tel qu'il l'avait imaginé. Les joueurs ont su se rebeller avec beaucoup d'orgueil. On a alors trouvé les buteurs que la presse cherchait cet été. Cette équipe est talentueuse et a une ambition à revendre. Elle semble encore plus forte, plus efficace que les années précédentes, à condition de se remettre en cause à chaque match.

Il y avait un signe indien contre Lille...
A Lyon, on était plutôt bon contre Lille. Je me souviens notamment d'une victoire 3-0 (le 23 mai 2004). Les deux matches de l'an dernier se sont déroulés dans des circonstances particulières. C'est vrai que j'ai jubilé en seconde période. C'était une démonstration précise de ce que nous essayons de réaliser. Mais il faut rester les pieds sur terre et les premiers à devoir le faire sont les dirigeants du club.

Pensez-vous que vos rivaux vont pouvoir résister ?
Marseille marche avec un Franck Ribéry de très haut niveau, c'est une équipe à prendre en considération, tout comme Lens et probablement Paris qui ne peut pas rester là où il en est. Avec Bordeaux, cela fait suffisamment de compétiteurs pour que le Championnat soit équilibré. J'en suis ravi car on voit de bons matches.

Il était difficile de faire mieux avant le match de Ligue des champions à Bucarest...
Ce match sera un piège. Il ne faut pas imaginer que ce sera une partie de plaisir. Il faudra être plus fort que cette équipe, qui a gagné à Kiev (4-1), ce qui n'est pas donné à tout le monde. C'est un moyen de confirmer la victoire contre le Real Madrid (2-0), mais surtout de se projeter sur l'avenir. Si on perd, tout sera remis en cause. En cas de match nul, on sera sur la trajectoire qu'il nous faut. Et si on gagne, on se dirigera vers une qualification plus rapide que prévue.

Le projet qui vous tient actuellement à coeur est l'entrée en bourse. Comment comptez-vous vous y prendre ?
Le projet se différencie des autres par le fait que la valeur de l'action ne sera pas directement liée à la valeur sportive d'un match. Il sera lié à la performance dans le temps, à l'aspect inexorable de la performance. Comme dans toutes les activités, il y a des entreprises qui réussissent en bourse quand il y a de bons managers et d'autres qui ne réussissent pas parce que les managers sont moins bons, ou parce que ce n'est pas le moment. C'est une grande victoire de Jean-François Lamour. Je le remercie d'avoir convaincu le gouvernement.

Plusieurs exemples étrangers montrent que souvent, ça ne marche pas.
C'est une contre-vérité. Manchester United n'est plus coté parce que son propriétaire l'a sorti, tout simplement car ce club marchait trop bien. Dans le passé, ce secteur était assez aléatoire. Mais de manière très intelligente, Jean-François Lamour a su faire que la loi permette aux clubs de se diversifier et d'avoir non seulement des revenus liés au football, mais aussi à tous les secteurs d'activité. Depuis quatre ans, l'OL a développé une galaxie d'entreprises. On va vers une époque où la bourse va permettre de financer les meilleurs, de donner une chance aux plus petits contre les plus gros et de se concurrencer avec des clubs comme Chelsea, où l'argent est facile. L'argent sera alors juste. C'est un nouveau modèle. Je vais faire maintenant un travail pour convaincre les médias que ce n'est pas un traquenard et que les actionnaires petits porteurs ne seront pas spoliés. Au contraire. On va écrire des aventures formidables qui n'auraient pas été possibles sans la bourse. On va voir des investisseurs gagner de l'argent avec la bourse car elle a cette faculté à mettre les plus forts en évidence et donc les valoriser davantage.

Combien espérez-vous lever de fonds dans un premier temps ?
C'est trop tôt pour le dire. Mais si on prend le projet de stade, indépendamment des centres commerciaux, il va nous coûter de l'ordre de 250 millions d'euros. La bourse pourrait nous permettre d'en financer la moitié. C'est considérable. Ce stade, et tout ce qui va autour, va augmenter les revenus de l'OL de 40 à 50 millions d'euros par an. D'un côté, on a un investissement lourd financé par la bourse, donc gratuitement pour le club, et de l'autre celui-ci apporte des revenus qui vont pérenniser l'activité. C'est un jeu gagnant-gagnant. C'est pour cela que je suis très heureux et convaincu que c'est un pas immense franchi par le ministère des Sports, comme cela avait été fait précédemment sur la propriété des droits TV, sur les CDD et sur les droits d'image. On a un modèle que plus personne ne pourra contester en France, pour concurrencer nos rivaux européens, Chelsea et les autres.

A quel type d'actionnaires pensez-vous vous adresser ?
Les premiers intéressés seront, pour en avoir parlé avec des banquiers, des investisseurs institutionnels. Les gens pourront s'y intéresser mais non parce qu'ils sont fans d'un club, mais parce qu'ils sont actionnaires individuels et qu'ils s'intéressent à d'autres entreprises cotées en bourse. Sans être prétentieux, la bourse valorise les entreprises qui sont bien gérées. Ce qui fait la différence entre une action qui monte et une autre qui se casse la figure, ce n'est pas le secteur d'activité, c'est la manière de gérer. Dans le football, je peux citer six ou sept clubs bien gérés. Lille en fait partie. Avec l'effet de levier de la bourse, il va grandir bien plus vite. Pareil pour Lens ou Bordeaux, même si le gestionnaire, Jean-Louis Triaud, dit que ce n'est pas son problème. Mais M6 ne tiendra pas le même langage. A Paris ou Nantes, dont on parle beaucoup en ce moment, cela peut aussi amener une voie de sortie ou d'évolution.

Vous espérez donc ne pas partir seul.
Je suis convaincu que ce ne sera pas le cas.

Savez-vous quel établissement bancaire vous accompagnera ?
Oui, cela a été arrêté, mais cela reste confidentiel pour le moment. On sait précisément comment on va s'y prendre. Les établissements financiers et les avocats spécialisés dans la bourse, ont été choisis. On travaille actuellement d'arrache-pied sur le dossier qui va être présenté. Pour réussir une opération en bourse, il faut être à Paris, à Lyon et à Londres.»

Bye-bye l’OL ?

Impériaux face à Lille, les Lyonnais poursuivent sur leur rythme infernal, qui est en passe de laisser tout le reste de la Ligue 1 en plan. Y compris des Marseillais en panne du côté de Nantes. Et pour Monaco, le calvaire continue.

Fred, le buteur attendu
«L’OL est une équipe toujours redoutable. Ce fut un match bizarre. Nous avons fait jeu égal avec eux durant une heure mais sur une grosse erreur de notre part, ils marquent le 2e but puis déroulent (…) Je trouve que nous avons été malheureux sur cette rencontre. Au regard de nos intentions de jeu durant une heure, nous ne méritions pas de perdre sur un tel score.» Désabusé auprès de notre correspondant à Gerland, Claude Puel ne pouvait que constater les dégâts samedi soir. En effet, sans être d’une flamboyance extraordinaire dans le jeu, Lyon n’a fait qu’une bouchée de ses joueurs grâce à un réalisme et un sens de l’accélération proprement redoutable. Comme à Lorient le week-end précédent en fait, où les Rhodaniens avaient un temps paru souffrir face aux Merlus. Avant de les envoyer dans les cordes pour le compte en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Cette fois, il aura fallu un gros quart d’heure à Juninho et consorts pour faire voler en éclat une défense nordiste pourtant réputée dans l’Hexagone. Symbole de cette réussite, Fred a inscrit ses 4e et 5e buts en Ligue 1, confirmant ainsi un peu plus que ce buteur que les supporters lyonnais appelaient tant de leurs vœux, c’était bien lui et personne d’autre. Et conséquence logique de l’émergence du Brésilien, l’attaque lyonnaise cartonne avec déjà 19 unités au compteur, alors que l’OM peine à atteindre les 13 réalisations.

Sans Ribéry, point d’OM ?
Du coup, au classement, l’OL commence inexorablement à creuser le trou. Déjà 6 points séparent les Lyonnais du 3e, Lens. Au bout de seulement 7 journées, cette avance n’a rien d’anodin et tout d’un gouffre, symptomatique de l’écart entre la formation de Gérard Houllier et les autres. Marseille, peut-être proclamé un peu vite «contestataire unique» du règne impitoyable des Rhodaniens, s’est lui pris les pieds dans le tapis de la Beaujoire. Une défaite (2-1) logique face à des Nantais enfin plein d’allant, ce qui ne manquera pas de faire plaisir à Serge Le Dizet, leur ancien entraîneur remercié il y a une semaine. Le fameux choc psychologique a donc eu lieu, sans que l’on sache vraiment si celui-ci est dû aux qualités retrouvées des jeunes Canaris ou à l’apathie d’Olympiens sans ressort. Ce qui confirme une nouvelle fois que lorsque Ribéry ne brille pas de mille feux, l’OM se transforme en équipe moyenne, avec un déficit criant dans le domaine de l’animation offensive, même si l’éclosion du talent de Nasri pourrait, à terme, résoudre cette inconstance aussi appelée «Ribéry-dépendance». Ce que confirmait d’une certaine façon José Anigo en élargissant les qualités de son feu follet à toute son équipe et en insistant sur «le manque de fraîcheur physique (de ses joueurs). On paie l’enchaînement des matches. Il y avait beaucoup de bonne volonté mais pas de carburant. Comme on est une équipe explosive avec de la vitesse, du mouvement et de la vivacité, si on n’a pas cette fraîcheur, on ne peut proposer cela.»

Monaco coule
Mais si pour Nantes ce succès a des vertus messianiques, l’extirpant de la zone rouge où il sombrait chaque journée un peu plus, pour l’OM, cette défaite ne doit pas faire oublier l’excellent début de saison, qui permet aux Olympiens de conserver somme toute tranquillement leur 2e place. Car derrière, la foire d’empoigne de cette 7e journée et ses multiples résultats nuls (5 en tout) ont conduit à un statut quo quasi général. Seul Bordeaux, qui a renversé Troyes en une minute (2-1), et Lens, vainqueur (1-0) de Monaco sur un penalty que l’on qualifiera de «dans l’air du temps», ont réussi à s’extirper d’une mélasse qui aurait presque fait revenir l’amateur de football un an en arrière. Avec trois 0-0, le spectacle n’a en effet pas été partout au rendez-vous, loin de là. A l’image d’un Parc des Princes où le mécontentement a grondé vis-à-vis d’une équipe parisienne impuissante à trouver l’ouverture contre Nancy. Un nouveau coup d’arrêt pour les hommes de Guy Lacombe, qui se situe dans l’exact prolongement d’un week-end chaotique, marqué par un épisode Dhorasoo qui pourrait laisser des traces. Seulement 13e, le PSG ne parvient donc pas à se sortir du marasme dans lequel il s’est plongé tout seul depuis le début de la saison. Mais il peut toujours se consoler en regardant la situation de l’équipe monégasque, qui n’évite la lanterne rouge qu’en vertu d’une meilleure différence de buts par rapport à des Niçois enfin récompensés face à Valenciennes (2-0). Sans âme, presque sans leader ni esprit de révolte, avec un Koller relégué sur le banc, l’ASM a récolté à Lens sa 3e défaite d’affilée, la 5e en 7 journées. Alors oui, le Rocher est bien en train de s’effondrer…

Programme de la 8e journée

Samedi 30 septembre
Sochaux - Lyon
Lille - Nice
Lorient - Troyes
Monaco - Le Mans
Sedan - Rennes
Valenciennes - Bordeaux
Dimanche 31 septembre
18h00
Auxerre - Nantes
Marseille - Toulouse
Nancy - Lens
Saint-Etienne - Paris SG

Paris SG: Dhorasoo a repris l'entraînement

PARIS (AFP) - Le milieu Vikash Dhorasoo a repris normalement l'entraînement lundi avec le reste du groupe professionnel du Paris SG (L1 de football) sous la direction de l'entraîneur Guy Lacombe, a constaté l'AFP.

Le joueur a d'abord effectué quelques exercices physiques pendant une demi-heure avec tout le groupe. Puis l'ancien international a accompagné, entre autres, Kalou et Paulo Cesar en salle de musculation.

Dhorasoo, écarté quatre fois consécutives du groupe du PSG, s'est livré à un duel par presse interposée ce week-end avec son coach et ses dirigeants.

Le milieu s'en est pris à son entraîneur Guy Lacombe affirmant que celui-ci "mentait", qu'il était "écarté" pour des raisons obscures, alors qu'il avait le "soutien" de nombreux coéquipiers.

Après une sévère critique du président Alain Cayzac envers le joueur, c'est Guy Lacombe qui est monté au créneau dimanche, répondant vertement au milieu de terrain: "dans le monde de l'entreprise, il serait licencié sur l'heure". Le joueur ne s'est pas arrêté devant les journalistes après l'entraînement.

"Pour nous, il n'y a pas d'affaire Dhorasoo. C'est entre le technique et le joueur. Nous on continue à travailler sereinement. Si Vikash est là avec nous, tant mieux, parce que c'est un joueur dont on aura besoin sur toute une saison. Maintenant, si il n'est pas là, on continuera à travailler", a expliqué le défenseur parisien Sammy Traoré, l'un des rares joueurs du Paris SG à s'exprimer lundi au Camp des Loges.

Interrogé sur les relations qu'entretiennent les joueurs avec Dhorasoo depuis ses déclarations dans la presse, il a ajouté: "Bien sûr qu'on discute avec lui. Ce n'est pas parce qu'il a un différend avec l'entraîneur qu'on ne va pas lui demander si tout se passe bien dans sa vie. Il sait que s'il a besoin de quelque chose, il peut compter sur nous, on est un groupe."

"C'est comme ça dans tous les clubs, il y a de bons joueurs qui restent sur le carreau le dimanche. C'est pas parce qu'il s'appelle Dhorasoo qu'il faut en faire toute une montagne", a-t-il estimé.

"Ce sont des grands garçons (Lacombe et Dhorasoo, ndlr), ils vont régler ça en interne", a assuré Sammy Traoré.

Dhorasoo-Paris, c’est fini ?

Vikash Dhorasoo a été mis à pied ce mardi par le PSG à la suite de ses déclarations remettant en cause son entraîneur, Guy Lacombe. Le milieu de terrain rencontrera Alain Cayzac la semaine prochaine pour un entretien qui sent fortement la séparation. A moins que...



Vers un licenciement ?
Le divorce entre le Paris Saint-Germain et Vikash Dhorasoo semble bel et bien consommé. Ecarté du groupe professionnel depuis quatre rencontres, le milieu de terrain parisien a été mis à pied ce mardi par son club à la suite de ses déclarations du week-end dernier remettant en cause l’honnêteté de son entraîneur Guy Lacombe. «Les déclarations publiques et le comportement récents de Vikash Dhorasoo ont amené la Direction du Club à convoquer le joueur à un entretien préalable qui aura lieu en début de semaine prochaine devant le Président du PSG, Alain Cayzac, afin de recueillir ses observations sur les événements qui se sont déroulés dernièrement. Compte tenu de la gravité des faits, la Direction du Club a décidé que le joueur fera l’objet d’une mise à pied à titre conservatoire, à compter de ce jour et jusqu’à la décision qui sera prise à la suite de cet entretien», indique le PSG dans un communiqué.

L’irritation de Cayzac
Un nouvel épisode dans un feuilleton commencé ce week-end avec les déclarations du joueur qui estimait que Guy Lacombe «avait menti» sur son état de santé pour justifier son absence du groupe lors du match de Coupe de la Ligue contre Lorient mercredi dernier. Ces déclarations, faites à la presse et publiées samedi matin, ont agacé les dirigeants parisiens. Au point qu’Alain Cayzac lui-même avait pris la parole samedi soir pour répondre à l’ancien Milanais. «Le jour d’un match, un joueur n’a pas à livrer ses états d’âme d'autant plus quand il tient des propos à l’encontre de l'entraîneur, en disant qu’il est un menteur. Ce plan média, mis en place par Vikash Dhorasoo via des déclarations à la presse, est inadmissible. Cette attitude est également un manque de respect pour le groupe et ça prouve qu’il s’intéresse plus à son image qu’au collectif», déclarait le président du club dans les couloirs du Parc des Princes après le résultat nul du PSG contre Nancy (0-0).

Dhorasoo ne s’excuse pas
Le lendemain, lui aussi très agacé par le comportement de son joueur, Guy Lacombe y allait de sa conférence de presse où il ne mâchait pas ses mots. L’ancien technicien évoquait une «attitude déloyale » et des «fautes professionnelles» de Dhorasoo, «la plus grande restant son inconstance sur le terrain.» «Dhorasoo s’est exclu tout seul comme il l’a fait auparavant dans quelques groupes auxquels il a appartenu. S’il fait des excuses publiques au club, au staff et à ses coéquipiers, peut-être que le groupe pourra lui pardonner. S’il ne le fait pas, nous aviserons en temps voulu», poursuivait Guy Lacombe. Mais depuis dimanche, et malgré sa présence à l’entraînement lundi, le milieu de terrain parisien n’a formulé aucune excuse, ni même de regret.

Au contraire, il persiste et signe : «Je confirme ce que j’ai dit et j’en assume les conséquences. Si j’ai parlé, c’était afin de me sentir mieux et de pouvoir rebondir», explique-t-il sur le site du PSG. «Je suis un joueur du PSG et je le serai jusqu’à la fin de mon contrat. Mon but est que ça marche et que l’on gagne des matches. L’affaire est désormais close. Je souhaite m’entraîner, rejouer des matches et les gagner.» Un vœu qui pourrait rester pieu car on voit mal, après cette mise à pied, comment Vikash Dhorasoo pourrait à nouveau porter le maillot parisien. Conscient qu’il a peut-être «employé des mots un peu forts», le Parisien a cependant semblé vouloir calmer le jeu ce mardi midi. «On verra comment mon entretien se passe. Si je dois faire des excuses, je les ferai à mon président», a-t-il indiqué dans l’émission En aparté, sur Canal+. Un premier pas vers une réconciliation ?

Ricardo va prolonger à Bordeaux

Ricardo devrait prolonger ce mardi le contrat qui le lie aux Girondins de Bordeaux.

Bonne nouvelle pour les supporters bordelais. Selon Sud-Ouest, Ricardo devrait prolonger son contrat avec les Girondins de Bordeaux de deux saisons. Toujours selon le quotidien régional, Jean-Lous Triaud, le président bordelais, devrait annoncer la nouvelle ce mardi après-midi. Arrivé à Bordeaux la saison dernière, Ricardo était sous contrat jusqu'en juin 2007.

Pour Dhorasso, je veux bien sa paye pour nettoyer leurs vestiaires.

Laetitia du 54 a écrit:

Pour Dhorasso, je veux bien sa paye pour nettoyer leurs vestiaires.

Je nettoie même à la brosse à dents !

Steph a écrit:

Laetitia du 54 a écrit:

Pour Dhorasso, je veux bien sa paye pour nettoyer leurs vestiaires.

Je nettoie même à la brosse à dents !

Et au coton tige dans les coins.

dhorasso, c'est pas lui qui vend les roses sur la place Stanislas?

Kalou et Mendy en viennent aux mains

Selon le quotidien L’Equipe, Bonaventure Kalou et Bernard Mendy se seraient battus, lundi au Camp des Loges.

C’est dans le vestiaire puis dans la salle de musculation du Camp des Loges qu’une vive altercation aurait éclaté entre Bonaventure Kalou et Bernard Mendy. Les deux joueurs du PSG ont, semble-t-il, échangé des coups avant de finalement se réconcilier.

Tout va bien au PSG...

j'ai vu ça.

Le meilleur c'est Traoré qui ouvre déjà sa gueule à Paris comme s'il était au club depuis 10 ans et qui dit que si ils virent Dhorasso c'est comme si ils viraient leur 3ème gardien

pistol a écrit:

dhorasso, c'est pas lui qui vend les roses sur la place Stanislas?

Pardon ? Je n'ai pas suivi là.

Laetitia du 54 a écrit:

pistol a écrit:

dhorasso, c'est pas lui qui vend les roses sur la place Stanislas?

Pardon ? Je n'ai pas suivi là.

A nancy il n'y en a peut-être pas, mais sur Paris sur toutes les places touristiques avec restos et bars t'as des venseurs de rose qui sont à 99% tous pakistanais ou malgashes et qui ressemblent à Dhorasso.
D'ou la petite blagounette.

Regnault forfait face à Rennes

Blessé, le portier de Sedan, Patrick Regnault, a déclaré forfait pour la réception de Rennes samedi.

Touché aux adducteurs, Patrick Regnault ne pourra tenir sa place dans les cages sedanaises samedi à l’occasion de la 8e journée de Ligue 1 face au Stade Rennais. Le gardien des Sangliers sera remplacé par Stéphane Trévisan.